Consultations
et accompagnements
personnalisés
En tant que psychanalyste, je prends en considération la singularité de chacun. Il n’y a pas de méthode figée pour répondre aux difficultés que vous rencontrez, mais une réponse adaptée à votre histoire. Je vous accompagne avec bienveillance vers le mieux-être.
De la périnatalité à la parentalité
• Consultations Jeunes Enfant (2-5 ans) et Enfant (6-12 ans)
Depuis 1996, je travaille auprès de la femme enceinte, du bébé, du jeune enfant et de sa famille à partir des travaux de Sophie Morgenstern, Françoise Dolto, Donald Winnicott.
Il est possible d’envisager un temps de consultation pour son enfant dès lors que l’on perçoit une situation de repli, un changement d’attitude où lorsque surgissent des questions de comportement.
De sa naissance à sa 5ème année, l’enfant change. Il apprend à parler, à se comporter en groupe et à réfléchir. Il met également en place sa personnalité et construit son intériorité. Cette croissance à la fois physique, psychique et sociale peut s’accompagner de manifestations telles que des colères, des terreurs nocturnes ou encore une intolérance à la frustration.
La psychothérapie du très jeune enfant va lui permettre de profiter d’un lieu sûr et confidentiel où il pourra recevoir un soutien émotionnel face aux difficultés qu’il rencontre.
> Comment se passe une séance ?
Parce qu’une consultation d’enfant se doit d’avoir un cadre, je propose un premier temps de rencontre avec les parents ou le parent (en cas de séparation par exemple) afin d’entendre la demande et le contexte.
Puis, il y aura 3 rencontres avec l’enfant, suivi d’un temps de bilan avec le ou les parents afin d’envisager la suite

Consultations Parents (Papa et ou Maman) / Bébé
Je travaille ici à partir des travaux de Sophie Morgenstern, Françoise Dolto, Donald Winnicott et de mes collègues Graciela Crespin et Marie-Christine Laznik.
La grossesse s’accompagne d’un état de perméabilité psychique accru chez la future mère.
La présence du bébé dans le corps de la mère vient immanquablement tirailler et déstabiliser l’équilibre psychosomatique maternel, mais aussi paternel. Cela met en tension les ajustements psychiques antérieurs tant chez le père que chez la mère et modifie ceux-ci dans le sens d’une intégration nouvelle, riche en maturation psychique.
Cette présence vient aussi ouvrir la voie aux anciens traumatismes, aux failles identitaires, aux nœuds conflictuels insuffisamment élaborés dans le passé ou, au contraire, elle vient intensifier les résistances face à ces retours de refoulé ou de clivé, vécus comme trop à risque de désorganisation psychique.
La clinique psychanalytique périnatale est une des façons de soutenir la transformation et l’intégration de cette psyché maternelle déstabilisée en quête d’un nouvel équilibre et, dans certaines situations, également celle du futur père.
Les circonstances qui entourent l’accouchement et les premiers moments de vie avec le nourrisson peuvent être psychiquement déstabilisants et même recéler un potentiel traumatique à ne pas sous-estimer : césarienne, hémorragie, éclampsie pour la maman; prématurité, malformations, souffrance néonatale pour le bébé.
Il me semble d’ailleurs important d’avoir une certaine connaissance de ces aspects médicaux pour pouvoir aller au-delà de ces vécus traumatiques et toucher aux mouvements psychiques qu’ils peuvent engendrer.
Les liens qui vont se tisser, les relations qui vont s’instaurer entre ces trois partenaires seront le résultat de cette rencontre particulière entre les parents et le bébé, avec ses caractéristiques physiques et comportementales propres, et ceux-ci, chargés de leurs histoires familiales et transgénérationnelles.
Clinique du sujet adulte
• Consultations adulte d’orientation analytique et la psychanalyse
La consultation adulte d’orientation analytique et la psychanalyse impliquent une démarche visant un mieux-être plus durable dans le respect de la singularité et de l’histoire de chacun.
Il s’agit d’aider un sujet à comprendre ce qui lui arrive et à faire des liens à travers ce qui se répète parfois depuis longtemps.
Il ne s’agit pas d’analyser de “l’extérieur », mais de permettre à chacun venant parler de s’analyser avec l’aide de son thérapeute ou psychanalyste. L’idée est que son cheminement s’éclaircisse, et qu’il puisse retrouver des marges de manœuvre dans sa vie.
> Qu’est ce qu’une consultation d’orientation analytique ?
La consultation d’orientation analytique va se centrer davantage sur un ou deux symptômes précis ou sur une conjoncture difficile (un conflit de couple, une difficulté scolaire ou de travail, une phobie, un trouble obsessionnel, une addiction…).
Les rendez-vous se font en face à face, à raison d’une consultation par semaine ou tous les quinze jours. La durée est en général plus courte que pour une psychanalyse avec des effets thérapeutiques, bien sûr, plus localisés.
> Pourquoi faire une psychanalyse ?
Une telle pratique implique un engagement du sujet, avec des rendez-vous réguliers (un à deux par semaine). L’idée d’une consultation psychanalytique est que les séances se succèdent dans une vraie dynamique de travail.
Le sujet est le plus souvent allongé sur le divan, ce qui permet de parler plus facilement et surtout de s’entendre davantage. Dans certains cas, une psychanalyse peut aussi se faire en face à face.
Les consultations de psychanalyse peuvent être relativement longues, et s’étaler sur plusieurs années. Tout dépend du moment où le patient va estimer être en mesure de se débrouiller de manière satisfaisante tout seul.

• Consultation du couple d’orientation psychanalytique
Un préalable : la consultation de couple implique l’accord des deux partenaires !
Les rencontres tenteront de cerner les mouvements conscients et inconscients qui sous-tendent les conflits manifestes, exprimés ou non et les conflits latents qui étaient non pensés jusque-là.
La thérapie conjugale implique un investissement d’1h30 par semaine, afin de prendre le temps de poser les axes en commun et retrouver de l’échange dans le couple.
Clinique professionnelle – Supervision professionnelle
• La supervision individuelle
La supervision de pratique clinique s’adresse à tous les professionnels qui souhaitent questionner leur pratique, qu’elle soit libérale ou institutionnelle. En tant que psychanalyste superviseur, je propose un cadre d’une séance par mois, en face-à-face.
Être professionnel dans la relation à l’autre, c’est avant tout savoir s’écouter, savoir écouter ses ressentis et son vécu à partir de ce qui se joue dans la relation avec l’usager, le patient, le bénéficiaire. Il s’agit de se concentrer sur ce qu’on nomme la relation transféro-contre-transférentielle. Appréhender une rencontre singulière entre deux personnes (le thérapeute et l’usager, le patient, le bénéficiaire) dans laquelle se mobilisent des processus inconscients
«Il est rare que l’on puisse faire un contrôle en public, mais pourquoi pas ?
Et pourquoi ne pas parler de quelque chose qui vous tracasse dans votre pratique, des obstacles que nous avons toujours à vaincre…»
Jacques Lacan
Plus précisément, nous nous intéresserons à la notion de contre-transfert que Jean Laplanche et Jean-Bertrand Pontalis définissent comme « l’ensemble des réactions inconscientes de l’analyste à la personne de l’analysé et plus particulièrement au transfert de celui-ci » dans leur ouvrage Vocabulaire de la psychanalyse.
Autrement dit, la supervision de cas vient réfléchir à partir de l’ensemble des réactions inconscientes du professionnel à l’égard de son interlocuteur, de « sa réponse émotionnelle » comme un outil de « connaissance » de l’usager, du patient ou du bénéficiaire.
Le contre-transfert est alors à considérer comme un levier dans la relation engagée.
Les séances de supervision offrent un lieu de parole sur le vécu du professionnel dans son exercice, ainsi qu’un espace de transmission d’expérience.
• Supervision d’équipe socio-éducative et protection de l’enfance
« Qu’elles grincent ou qu’elles soient bien huilées, les pratiques sociales ne vont pas de soient. Les relations avec les usagers, les collègues, la direction, les partenaires, les politiques, qui reposent sur la dynamique de la rencontre et de l’accueil, exigent un effort constant des professionnels qui ne peut être maintenu en tension qu’au prix d’un travail permanent d’« entretien » de l’outil de travail, c’est-à-dire la personne elle-même. Chacun vient dans les métiers du social avec son histoire, ses émotions, sa façon d’être, ses cénesthésies, ses représentations, ses convictions politiques, religieuses, esthétiques, son savoir-vivre ou pas… Comme on dit, « dans ces métiers, l’outil de travail, c’est soi-même ! » Ce travail d’« entretien », seule la pratique de supervision (dite parfois « analyse de la pratique ») le permet à partir de la reprise et de l’élaboration, dans l’après-coup, des situations vécues.
La remise en circulation de l’énergie que toute rencontre professionnelle vient mobiliser, bouleverser, voire bloquer sur le plan psychique et physique, sous forme d’émotions, d’angoisses, de questionnements sans fin, de doutes, de ressassements, etc., produits par et dans le transfert, c’est ce qu’on est en droit d’attendre d’un superviseur »…. Extrait de La supervision d’équipe en travail social : le retour ! de Joseph Rouzel
J’accompagne depuis 27 ans de nombreuses équipes du champ du Périnat, de la Petite enfance, de la Protection de l’enfance, du médico-social et du sanitaire. (Mes expériences d’accompagnement d’équipes : Maternités, Crèches, Assistantes Maternelles, RPE, SSR pédiatrique, addicto, polyvalent, Soins palliatifs, SESSAD, ITEP, IME, Foyers éducatifs, MECS, CER, PJJ, établissements pour adultes en situation de handicap et personnes âgées)
Sur un rythme allant de tous les mois, à tous les deux mois, pour au moins 1h30, une équipe se met au travail autour de ses savoirs, en ma présence.
Je propose des supervisions hors cadre de la formation continue et Certification QUALIOPI
Rencontre préalable avant toute édition de devis